Litterature
Comment l’auteur allie-t-il le portrait réaliste et la caricature ?
Ceci est le plan que détaillé que j’ai fait à partir de la lecture analytique de Mme Plesdin. Je n’ai pas le temps de recopier toute la lecture qu’elle a donné, trop de blabla et de précisions pas forcément utiles. Ce plan devrait suffire pour s’en sortir.
I- Un portrait réaliste a. L’harmonie d l’individu et du milieu - Pas de plan précis dans la description (pas d’ordre visage/corps…) - Idée du déterminisme : une personne est en relation avec son milieu (citer : « sa personne explique la pension comme la pension implique sa personne »). b. Un personnage repoussant - apparence physique (« grassouillette ») + contraste avec la légèreté du chat qui « saute » sur le buffet (citer : « trainassant ses pantoufles ») - vêtements qui l’enlaidissent encore plus (citer)
II- Une caricature bouffonne a. Les métaphores animales - « bec de perroquet » : prétention - « rat d’église » : avarice b. Les jeux phoniques - allitération en s : « trainassant ses pantoufles » - diminutifs péjoratifs : « grassouillette », « veillotte » c. L’ironie et la parodie - les mots en italique : « rourou » au lieu de « ronron » : satisfaction béate - « Mme Vauquer ressemble à toutes ces femmes qui ont eu des malheurs » : hypocrisie de Mme Vauquer - L’arrivée théâtrale de Mme Vauquer : « cette pièce est dans tout son lustre », « la veuve se montre », « le spectacle est complet ».
III- Un symbole vivant de la pension a. Les diverses incarnations de l’enfermement et de l’exploitation - Mme Vauquer, aussi bien physiquement que moralement nous donne l’impression d’être une sorcière. - « escompteur », « bagne », «