Dans les années 1970 la poésie ainsi que la littérature québécoise connaisse un grand essor. Les valeurs de cette époque d'une langue et d'une forme coïncide avec une volonté de liberté de création en luttent ainsi pour la reconnaissance d'un pays, d'une langue, d'une culture propre. La littérature devient donc une arme. Gaston Miron ce trouve être le porte parole d'un regroupement ainsi que d'un espoir auquel les québécois aspire depuis longtemps. Miron exploite abondamment le thème de l’amour, ce qui ne s’était jamais vu dans la littérature québécoise. Gaston Miron l’aborde recueil, L’Homme rapaillé (1970), particulièrement dans deux poèmes qui feront l’objet de notre étude : «Je t’écris» et «Poème de séparation». Peut-on dire que le thème de l’amour est abordé de façon semblable dans les deux poèmes? Dans ces deux poème que Gaston Miron a écrit , on peut observer de nombreux rapprochement fait entre les deux poème ainsi que leur déférence.

Tout d’abord on peut établir certains rapprochements entre les deux poèmes, quant à la façon dont le thème est traité. En effet, la démarche est la même : après avoir évoqué sa relation amoureuse, l’auteur décrit met sa souffrance en évidence puis voudrais bien envisager une solution. En d’autres mots, un passé heureux qui a succèdent le présent douloureux et qui va ce terminer avec un futur plein de promesses. Par ailleurs, pour décrire son mal, il emploie des images. La lumière est associée métaphoriquement à l’éclat de l’amour tandis que la noirceur représente la perte, sinon la mort du sentiment amoureux, la douleur, la peine, la tristesse d’avoir perdu un être chers... Dans le premier poème, il a «noir éclaté dans la tête» (v. 8) alors que dans le second, il créée le néologisme «désoleille» (v. 11). Il utilise l’image du froid pour traduire l’absence d’amour : au «j’ai froid dans la main» (v. 11) fait écho le «mal fluide de glace vive en ma substance» (v. 16). Cette relation amoureuse fut beaucoup