Loi de finance complémentaire 2009
Le premier plan quadriennal 1970-73 marque véritablement le départ de la planification de type socialiste et il pose les piliers de la bureaucratie économique algérienne
Les collectivités locales, les entreprises publiques et les ministères de tutelle conçoivent des projets d’investissements qu’ils sélectionnent à partir de critères (comme valeurs ajoutés, la contribution à l’équilibre régional, etc.…)
Fixés par le secrétaire de l’Etat au plan ; c’est le dernier , en liaison avec le ministre des finances , qui arrête un taux d’investissement par arbitrage entre les différents projets d’accumulations (qu’il a étudier) et soumet ses propositions au gouvernement ( au nom du centralisme démocratique) .finalement sont retenus les investissements dont on attend un maximum d effets économique ( sur la production , sur la valeur ajouté , sur l’emploi,…etc)
La rentabilité financière (considéré notamment par le tenants de l’industrialisation a tout prix ) comme un critère bourgeois et capitaliste étant écartée ou négligée .
Le plan quadriennal 1974-77 est globalement la continuation du précédent plan ; il se distingue par le montant des investissements planifiés (largement stimulé par la hausse du prix d’exportation du pétrole) et par l’attention plus forte qu’il consacre aux branches non