Lorenzaccio scène 3 acte 2
I. La religion dans cet acte
a. Un divertissement
La religion apparaît ici comme un divertissement un jeu.
b. Le despotisme
Le Cardinal défend d’abord le duc qui est un tyran. Le pape est associé à Charles Quint qui oppresse le peuple. L’Eglise n’aide pas et n’écoute pas le peuple. Elle se détourne de ses principes qui sont d’aider les gens et la société ce qui engendre une société éclatée.
c. Le Cardinal, un personnage malvaillante
Dans cette acte nous découvrons la vraie personnalité du cardinal dès que la Marquise sort lorsqu’il soulève la tapisserie. Il y a la présence de propos sarcastique sur la Marquise. Le cardinal se moque de la Marquise et tiens des propos qu’un prêtre de devrait pas tenir. Religion s’avère corrompue.
II. La Marquise
a. Une émotion extravertie
Lors du départ de son mari, sentiment de solitude qui s’empare d’elle. Deux termes opposés : « seul » et « avec » terme qui montre que même en présence de qqn d’autre la marquise se sent tout de même seule. Parle peu, répliques courtes et ne fait pas avancer l’action. Emotion est telle qu’on a l’impression que le départ de son mari est définitif.
b. Républicaines
Critique le duc, après la tristesse succède la colère. Discrédite le pouvoir du duc avec une réplique ironique. Révèle l’irresponsabilité du duc, dénonce le clergé : insinue que l’église n’écoute pas le peuple et l’enfonce.
c. Son comportement
Adopte différent comportement en une même scène : émue, révoltée. Succombe au duc de Médicis. Elle joue un rôle (larmes forcées)
III. Florence
a. La puissance de la corruption
La corruption agit sur des personnes sensibles comme la Marquise, personnification de la débauche, ici personnage à part entière qui se joue du peuple. Le Duc est au pouvoir et incarne cette débauche.
b. Le personnage du Duc
Il a un comportement enfnatin, libertin. Il se déguise et se travestie, il prouve ainsi qu’il a besoin de s’amuser, et qu’il n’est donc pas apte à gouverner.