Los animales y el hombre
Ilssont arrivés à un port et la police et la croix rouge les attendaient déjà. Ils ont passé la nuit dans un commissaria ils sontt entassés dans un local et jetés au sol. Une avocate est arrivée, une jeunefemme qui leur explica un par un en langue Française, qu'ils les mèneraient dans un centre de rétention et qu'après quarante jours ils seraient libre peut-être.
Lorsqu'ils ont perdu de vue la terre, Ismael s'est levé en essayant de voir quelque chose de plus qu'une eau. Au cinquième jour sacré, l'eau a fini. certains ont commencé à pleurer et à pleurer et à pleurer et pleurer. Nous partons pour mourir répétaient-t-ils, nous partons pour mourir. Une terre n'était vue par aucune partie. ila pensé qu'il avait été un idiot, qu'il aurait du acheté un passeport et un billet d'avion, comme il se faisaient tant. Ila pensé, bon, je vais mourir, cela est tout. La peur s'est endormie, aveuglé par la fatigue, la soif, la chaleur, par le strident. Et alors j'écoute son père, directement venu du village des défunts : Ne pleure pas, tu ne vas pas mourir mon enfant. Et