Malstrom
-Au mon dieu! L’heure exécrable me démange l’aisselle , tenez je vous donne la mienne — dit Sade.
Une des filles l’entend parler , sa douce oreille perçoit les petits mots du Marquis.
-Quoi?Quoi?Quoi? — dit une des filles.
Sade prend son cou et lance ses mains vers le ciel . Je vois des éléphants roses qui traversent une horloge qui indique trois boutons.L’un des boutons s’enlève , une peau lascive apparait , un autre bouton , la même lascivité , le troisième…
Sade prend une délicieuse claque. Sa joue rouge laisse sortir de putrides fourmis qui dans un élan sans commune mesure foncent vers sa main.Main qui elle se sent libéré de toute contrainte. La rousse des trois filles à la jambe droite qui tressaille ,sa langue implose et vient délicieusement lécher la main emplie de fourmis du Marquis.
Léchez promptement ma douce , n’oubliez pas les détails — dit Sade.
Bien bien je n’oublie rien de rien, de rien — dit la rousse.
Les deux autres blondes dans toutes leurs longueurs puis largeurs déhanchent leurs seins.Sur leurs têtes , deux pains et entre les deux : rien. Ce petit rien ne laisse pas sans émoi les deux couillons assis au bout d’une table.Sur cette table, une bouteille dans laquelle un liquide laisse entrevoir deux jambes trouées de point noir . Jambes frappant avec véhémence une singularité qu’on peut appeler foi.
Les couillons s’approchent donc d’un pas déterminé et lent vers les Blondesespérés.Les couillons couillonnent leurs couilles , et les muscles sortent . Les pectoraux d’abord puis les abdos suivent. Rien ne laisse croire à une possible intervention des neurones . Alléluia!Voilà, tout est prêt ,les couillons ont leurs corps bien disposés , tout est parfait. Les blondes ont répondu,