Marché cosmétique
317 000 soins spécifiques du visage, 531 000 shampoings, etc.
Un sondage de 2005 de l’INSEE a révélé que la dépense moyenne pour un français dans ce domaine représentait 205 € par an et par personne ; l’un des budgets les plus importants d’Europe.
Et la crise financière dans tout cela ? Les marques ne s’en inquiètent pas vraiment ; par ailleurs, le dynamisme de l’industrie cosmétique permet de tirer la croissance économique française à la hausse. Grâce à des produits de qualité et une innovation permanente tant sur le plan des composants que sur la commercialisation en général, le marché est très dynamique. Sur le territoire national on compte 550 sites de fabrication ou de recherche dans 74 départements différents.
Il y a une dizaine d’années, on a vu apparaître des gammes de produits spécifiques pour chacun des membres de la famille, de la société. L’offre se multiplie de plus en plus pour répondre à une demande très poussée.
on peut remarquer une évolution générale de la vision de ce marché aussi bien avec les investissements de plus en plus importants pour l’innovation mais également, et surtout, concernant le marketing.
Quelle est justement la stratégie marketing adoptée par les marques de ce marché ?
Dans tous les secteurs de l’économie, on a pu constater une évolution des méthodes concernant le marketing. Fini le temps où l’on se contentait du marketing de masse, où les entreprises répondaient simplement aux attentes d’un client moyen, pour continuer à exister sur un marché hyper concurrentiel comme celui du marché de la cosmétique.
Il a donc fallu mettre en place de nouvelles stratégies qui permettent à l’entreprise de situer beaucoup plus précisément les besoins de ses clients (grâce à