L’appréciation a été le meilleur moyen de savoir ce que en pensaient les lyonnais qui étaient visés par les produits. La familiarisation des concurrents sur le marché concerné est l’impact direct sur les moyens à déployer pour satisfaire la clientèle régionale et les conquérir.

Vouloir aussi satisfaire les envies des clients devra être l’une des caractéristiques qui devront être revu par « La William » en suivant les conseils qui nous ont été donné par les consommateurs interrogés et les professionnels qui ont eu l’amabilité de répondre à nos questions et gouter les produits de façon à les apprécier un à un et nous fournir des arguments convaincante sur la manière de les changer et ce qui devrait être revu dans tous les côtés, que ce soit l’aspect physique ou dans les matières qui composent les produits en question.

Le goût, l’odeur et la texture des sauces n’ont pas été les points forts pour ces sauces qui ne se trouvaient pas encore sur le marché. Le grand nombre des interrogés n’était pas favorable à la texture des sauces. Pour la Banzaï, certaines personnes ne l’aimaient pas par le fait qu’elle est un peu fade et par le fait qu’elle était trop piquante à leur goût. La Brazil, elle ne les plaisait pas aussi à tous par le fait que certains préférait son goût un peu étrange qui ne ressort pas chez d’autres sauces qu’ils avaient gouté au par avant et sa texture qui était un peu fort remarquable. La pitta a été la préférée des enfants et des femmes au foyer d’après les informations reçus sur le terrain. (P Place)La plus part d’eux sont favorable à l’idée d’acheter cette sauce s’elle se trouve dans des grandes surfaces au dans des endroits accessible au public et où ils peuvent acquérir le produit. Mais la pitta aussi a eu quelques ennemis qui ne supportent pas l’ail. Ce sont eux qui ont affirmé que la sauce saurait encore meilleur si elle n’avait pas d’ail dans sa composition mais que la couleur et la liquidité du produit les plait bien. Et