Marylin monroe
10 Marilyn, série de dix portraits à l’effigie de l’actrice Marilyn Monroe, crée entre 1963 et 1967 mesurant chacun 91x91 cm.
Ces tableaux basés sur une photo publicitaire du film « Niagara » , ont été réalisé en utilisant la sérigraphie qui permet d’imprimer un sujet de façon répétitive. Andy Warhol à la fois amoureux de Marilyn Monroe et fasciné par la mort, a débuté cette série peu de temps après le décès de l’actrice. Par exemple pour Orange Marilyn, Warhol utilise l’image d’une femme mythifiée, après son décès.
Ici,il accentue dans Marilyn ce qui fait ici l’image de la pin-up : les lèvres, le « maquillage » un peu vulgaire des yeux, la blondeur de ses cheveux.
Les couleurs de Marilyn sont vives, jusqu’à une saturation.
La couleur du maquillage des paupières est la même que celle du fond de la toile.
Les couleurs sont ici irréelles par rapport à celles de la peau humaine.
Elles sont utilisées pour attirées, voir choquées l’œil afin qu’il retiennent l’image.
Elles sont également forte parfois foncé sur certain portraits, elles font presque disparaître son image.
Sur seulement deux portraits, le visage de l’actrice ressort bien ce sont les deux qui se rapproche le plus de la réalité, en thermes de couleurs ; la couleur des cheveux et de la peau.
Sur d’autres son visage est comme écrasée par les couleurs, voir sombre, où le visage paraît comme effacé.
Par l’assemblage de ces portraits, Andy Warhol réveille la mort de l’image, en parallèle avec la mort de la célébrité, la montrant sous des jours fastes, puis