La peur : danger réel ou danger imaginé ?

« La Peur » est un conte qui se trouve dans le recueil de contes « Les contes de la Bécasse ». Comme le titre déjà indique il parle de la peur. La peur est un sujet qui revient tout le temps dans une sorte de genre. « La Peur » ne parle pas seulement sur la peur, mais aussi sur le surnaturel qui joue un grand rôle dans ce conte. Le narrateur raconte deux anecdotes qui doivent indiquer pourquoi la peur est un mot différent que toutes ces synonymes. C’est pourquoi je voudrais expliquer la définition de la peur et relever les formes de la manifestation. Puis je veux me demander la question suivante : Les formes sont-elles toutes pareilles en force ou est-ce qu’il y a des différences entre eux ? Le narrateur raconte donc deux anecdotes qui a quelque chose à faire avec le surnaturel pour expliquer la vraie peur . La question principale sera : Pourquoi le narrateur a raconté deux anecdotes et pourquoi on ne peut qu’éprouver la peur dans un cas surnaturel ?

Pour commencer il est nécessaire d’expliquer de quel genre le conte « La Peur » est, parce qu’il présente quelques éléments qui ont quelque chose à faire avec le surnaturel, peut-être quelque chose qu’on ne peut pas comprendre quand on ne sait rien de ce sujet. Le thème central du conte est la peur ce qui est indiqué aussi au titre. La peur est un sentiment qui paraît souvent dans un certain genre et qui s’appelle le fantastique[1]. Le fantastique est un genre littéraire fondé sur la fiction, qui raconte l’intrusion du surnaturel dans un cadre réaliste. En autres mots : l’apparition de faits inexpliqués et en fait théoriquement inexplicables dans un contexte connu du lecteur. Ils ressemblent au merveilleux, mais sont quand même différents.

On ne trouve le fantastique que dans l’hésitation entre l’acceptation du surnaturel en tant qu’il y a une tentative d’explication rationnelle. Le fantastique est situé entre deux genres à savoir le genre du merveilleux