Max pecas, un incroyable malentendu
Retour sur un malentendu que personne ne semble vouloir dissiper.
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Ici, quelques tentatives d'aguichage subsistent, mais elles sont moins nombreuses et visent plus à une immersion dans l'univers du film qu'une quelconque opération commerciale pour attirer le chaland. Mais pour ne pas sombrer dans l'angélisme, il faut rappeler que Max Pécas croyait très fort au credo du cinéma d'exploitation, à savoir qu'un film c'est d'abord un titre et une …afficher plus de contenu…
Si au premier degré il peut-être pris pour une violente charge anti-communiste, le propos est en fait beaucoup plus ambigüe et semble même faire preuve de rejet envers toute forme de pouvoir politique. Une finesse d'écriture qui est permise par la participation de Jean-Pierre Bastid, co-auteur de « Laissez les bronzer les cadavres » aux côtés de Jean-Patrick Manchette, dont le nom a déjà été évoqué plus haut.
C'est sur cette note que Max Pécas terminera la première partie de sa carrière avant de se tourner vers la sexploitation et la pornographie