Le remplaçant

un bruit me fit sursauter, c était la cloche qui annonçait la troisième période. Mr poulain le surveillant des onzième années entra dans la classe d une manière qui d après moi était idoine. Ca face respirait la méfiance, la force, la cautèle. Il connaissait bien les élèves. D ailleurs il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour arrêter le vacarme car il était connut pour son tempérament irascible et ampoulé. Soudain, un homme trapu, de petite taille, pénétra dans la salle. Sa démarche nonchalante et hésitante lui donnait un air égaré. Son visage était recouvert d une péricarpe de boutons hideux et son regard farouche et vitreux traversa la classe d une facon apeure et fuyante. Il ouvra sa bouche seche et laissa decouvrir sa dentition tacheté ; il attendit que le surveillant sorte puis entamma un discour harangue sur sa personne. Le silence qui suivit son oratoire pris place a un eclat de rire collectif de la par de mes camarades. Il parut un peu effrayer par cette reaction de notre part. Mais ne dit. En s avancant vers son bureau il trebucha ce qui entraina un nouveau fou de rire incontrolable. Il se releva tant bien que mal pris lace sur le siege et debuta les presance. Il marmona quel que chose d une maniere abscons puis la dit plus haut pour toute la classe mossiboueee !! l eleve en question se leva et replica non m sieur mon nom c est mozibe cette nouvelle intervantion dechena un grognement assourdissant de nous tous moi y compris cette fois ci. Arretez cria t il... le voici qui utilisait la seule hoirie dont benificiait chaque enseignant, son autorite. Mais ce ne fut d aucun secours car le rafus ne cessa pas. Pendant un instant jeus pitie de lui mais il fallait l avouer quand meme ce mec c etait un sacre clown. Une dizaine de minute plutart quelqu un frappa a la porte, le remplacant nous fit signe de nous calmer puis le fit entrer. C etait jean louis ce petit fourbe de lebec avec ses airs et ses manieres de bourge. Je ne l avais jamais