: « Mignonne allons voir si la rose… » De Pierre RONSARD
 Ronsard et Du Bellay ont créé la pléiade. Ce mouvement cherche à enrichir la langue française et ambitionne d’atteindre la perfection par le respect d’une seule règle stricte.
(Forme contraire : 2 sonnet, 2 tercet)
 Ronsard né en 1524 et meurt en 1585, est le prince des poètes, il passe une partie de sa vie sous François 1er (le père et le restaurateur des lettres) issue d’une famille noble, d’Orléans, il va devenir page à la cours (entre le valet et la dame de compagnie). Il voulait se destiner au métier des arts, devenir secrétaire de Lazare de BAÏF, qui l’introduit dans un cercle d’écrivain. Il a une maladie, qui lui laisse une surdité qu’il se tourne donc vers l’écriture.
 Ce poème est une Ode, un poème d’amour. Par lequel le poète cherche à séduire une jeune fille. Il s’agit d’un monologue (octosyllabes réguliers) ce mètre (vers) est un mètre plus familier que l’alexandrin qui convient bien au poème vu que le poète est plus jeune que la fille. 4 rimes embrassées + 2 rimes plates.
• On pense qu’il écrit ce texte pour Cassandre SALVIATI, rencontré à la cours lorsqu’elle avait 13 ans. A cette époque les femmes sont mariées beaucoup plus tôt mais les hommes sont plus âgés. Ronsard avait lui 20 ans soir) c’est une métaphore. Topos : un lieu commun cliché métaphore de la vie à travers la journée.
La robe de la rose qui se déclos (rose qu’on va ouvrir) sa robe de pourpre de couleurs robe vif -> amour, richesse et rareté. Le champ lexical de la richesse : or, pourpre, les plis de la robe. Symbolique Ronsard dit que c’est le meilleur moment de la vie.