c'est la nuit, bonsoir monsieur Montus il fait noir, il fait froid. où va tu?
- je cherche la sortie inconnue je me fait des ongles pour grimper les futaies j'atteins le zénith avec la tête suspendue je vois l'horizon mais pas le rêve attendu

ne m'ignore pas, je suis là monsieur Montus je suis invisible mais j’existe. tu ne délire pas tu veux que je me retire?
- je m'enivre de détresse, je trompe le visible j'ai des bouffés qui éclatent mes souffles et ma poitrine j'ai mon cerveau qui divague; je suis a l'aube de mourir je suis entraîne de souffrir; tu dois partir quand tu va partir ?

non, ce n'est pas comme ça monsieur Montus je suis ta muse , pourquoi tu nie ?
- je ne veux plus parler, tu as séché ma salive tu m'as vêtu le rictus , tu m'as détruit tu m"as fait tomber du futaie comment tu t'appelle , pourquoi me chérir?

j'ai toujours été auprès de toi monsieur Montus je m'appelle agonie, chère monsieur Montus

.........

cette puissante chaîne s'est transformer en une fragile ficelle ces aimants qui ne tiennent plus qu'aux deux énergies polaires cette immense clarté qui rend les yeux si aveugle cette lumière de phare qui fait rétrécir les paupière phare, je ne vois plus laisse moi repérer ta place au dessous, il n'y a que le noir et l'obscurité totale que ces intersections qui m'amènent a nulle part il faut que je m’arrête malgré que je ne bouge guère il faut que je me retrouve et aller chez le phare car sauf la bas ou je pourrai me reposer sous la lumière