Monsieur
La question principale que Amin malouf se pose dans se chapitre ses : sommes-nous obliger de nous moderniser sans perdre notre identité ?
Et il y répond en prenant plusieurs exemples dont deux plus importants que je vais traiter ici
Il prend d’exemple du khédive d’Egypte : Mehmet-Ali, qui au XIX° siècle était parvenu à faire de son pays une puissance régionale moderne et favorable aux technologies occidentales mais contre laquelle les Etats européens se sont coalisés, la jugeant trop dangereuse. Les Arabes en conclurent que l’Occident ne voulait pas qu’on lui ressemble mais seulement qu’on lui obéisse. La modernisation a dès lors été perçue pour le monde musulman et non occidental en général comme une nécessité, sans pouvoir être pour autant envisagée sereinement. En conséquence, il apparaît difficile d’adhérer pleinement et sans arrière pensées à la culture occidentale.
En outre, Amin Maalouf souligne le fait que le radicalisme religieux n’a pas été la réponse spontanée du monde musulman au dilemme posé par la modernisation. Ce n’est en effet qu’après les impasses du sous développement qu’ont connu les régimes nationalistes que le discours du radicalisme religieux a commencé à se développer.
Il prend pour exemple Nasser qui réforma son pays et rétablit la fierté arabe autant à l'intérieur qu'à l'extérieur
Son deuxième exemple est celui du monde turcs qui selon lui cherchait trop a se moderniser, en essayant de « gommer » ses appartenances arabes que se soit au niveau de la langue ou de la religion pour accéder au monde européens.
Dans ce chapitre Amin malouf prend en compte le
LEXIQUE
Méhémet-Ali, souvent écrit Méhémet Ali, né le 4 mars 1769 à Kavala en Macédoine orientale et décédé le 2 août 1849 à Alexandrie en Égypte, était un vice-roi d'Égypte (1804-1849) d'originealbanaise2,3. Il est généralement considéré comme le fondateur de l'Égypte moderne.