Montesqieu : De Roxane a Usbek, Lettre Persane 161
La dernière lettre du roman est mis en place par une rethorique de l`antithèse. On a ,parmi autres, l`opposition masculin-feminin.
Usbek est un symbole de la toute puissance masculine et les femmes du Harem lui appartiennent. Pour lui, une femme est un objet qui doit obéir.
De l`autre coté on a Roxanne, la femme incapable de soumission, mais capable de vangeance, la femme libérée par la mort. Donc, on a ici une revolte du femme qui ne peut pas accomplir son destin et pour laquelle la mort représente la liberté absolute. Les jeux de repétitions ,les inversions et les simétries ont le role de montrer où Roxanne met l`accent. Elle met en scene la repétition obsedante je et tu «tu me croyais trompée, et je te trompais»-actif-passif ,ou le je est toujours sujet, objet ou complement «je t`ai trompé» , «je vais mourir», mais tu ,a la fin, est seulement objet et complement «t'avoir accablé», donc on peut dire que Roxanne devient maitresse de son destin, elle est responsable pour ses actes, elle sait que ,après cette lettre, elle va etre libre.
On a aussi affaire a une heroisme du suicide du femme, ou l`homme reste sans espoir et sans pouvoir donner une reponse, ce qui est surprenant pour le XVIIIe siècle. Roxanne a sauvé toujours les apparences,elle a pu pas etre soumise «te paraître fidèle». La rethorique de l`antithèse fait partie de celle de la passion, de l`amour de Roxanne pour Usbek, amour qui a été trahi parce`qu`elle n`a pas pu etre libre : «non: j'ai pu vivre dans la servitude».
2. Le tragisme de la lettre-la mort de Roxanne
Prémierement le temps de recit se confond avec celui de l`agonie, entre le moment où elle vient d`avaler le poison «le poison va couler dans mes veines» et celui où il produit son effet «je sens affaiblir jusqu'à ma haine; je me meurs. » On retrouve le champ lexical de la mort : mourir, le poison, répandre le sang, je meurs.
L`effet dramatique est produit aussi par l`idée que Roxanne est meurt quand Usbek lit