Monuments funéraires en Asie mineure
Arts monumentales : fresque, mosaïque, jouent avec les cadres intégration de ligne
Les Philosopohes (école …)
Ce qui joue dans la fresque, c’est le travail de la compo plus que l’esthétique visuel ; pas d’expression par la touche et le mouvement, elle neutralise en quelque sorte le style de l’artiste par la technique.
+ problème des modelés difficiles à mettre en valeur
Massaccio, Paiement du tribut
Coloris relativement clair (surtt des perso) en contraste -6> influence de la peinture à l’huile (qui devient technique majeure au XVIe)
Palais du Té, à Mantoue, artiste maniériste milieu XVIe, Julio Romano, salle des géants
Mise en place in terressante de la compo qui rompt avec le mur elle ne s’adapte pas à son cadre, elle prend tout le mur, fresque qui devient globale.
Travaile plus marqu » dans la touche, plus raffiné avec notamment travail des ombres avec des ocres (mais assez rare) il n’y a pas de mélange dans cette peinture.
Michel-Ange, Sixtine, en 2 phases (deb de sa vie et fin)
Décor du plafond et corps des murs pariétal. Plafonds : travail long et fastidieux.
Peintures restaurées, on a ravivé les couleurs débat dans la manière de restaurer.
On s’est rendu compte que les couleurs étaient bcp plus claires qu’on l’imaginait. L’esthétique classique devait plus jouer sur les tons sombres et ici on est dans une fraicheur des coloris.
Impression des coloris peut être liée à la position éloignée du spectateur (procédé auquel on a recourt depuis l’antiquité) ils simplifient les formes et foncent les coloris (propre aux procédés monumentaux) forcent les effets
Ref décors de théâtre et fresques grecques
+ on a remarqué que les personnes de cette époque avaient une acuité visuelle plus imp que nous car habituées à regarder les choses de loin.
Premier temps avec peintures des murs dans des niches ; saints, perso d’église, représentés assis, avec codes couleurs particuliers pour les identifier, et attribut.
Deuxième