Mors victor hugo pauca meae
Introduction
Victor Hugo, lun des plus grand poète et écrivain français de tous les temps, chef de file du mouvement romantique, est l’auteur de nombreux chef d’ouvre : Les Misérables, Les Châtiments, ou encore Les Contemplations, d’où est extrait le poème Mors. Le recueil Les Contemplations, est construit en deux parties, séparées par une date, le 4 septembre 1843, jour de la mort accidentelle de sa fille. La première partie, « Autrefois », est consacrée aux poèmes du bonheur, la seconde, d’où est tiré Mors, est une méditation sur la mort et la destinée humaine. Le texte Mors, est un poème en vers qui présente le triomphe absolu de la mort par la description d’une atmosphère d’apocalypse. Le poème s’organise autour d’un double jeu de sensations. D’une part la sensation visuelle, largement développée dans les 10 premiers vers, introduite par un passé simple « je vis » ; d’autre part la sensation auditive développée à partir de « crier ».
Différents personnages : les hommes (pas de portait précis, pas de nom, désigne les hommes en général), la faucheuse (allégorie de la mort, désignée par « elle », « squelette », « faux » ,elle-même désignée par « lueur », rayon lumineux faible), le poète (« je », inspiré par la Muse, a le sentiment d’avoir une mission, il a un don de poète voyant, il est un peu en retrait, il voit la mort agir et le lecteur est invité à le rejoindre), fée, peuples, triomphateurs (généraux, gens qui sont plus puissants), ange, ensemble de l’humanité représentée, la mort touche tout le monde, pas de lieu décrit. La mort est toute puissante, c’est elle qui a le dernier mot.
Elle agit en tout lieu et concerne tout le monde, toute époque (Babylone, fait référence à d’anciennes civilisations), occupation de l’espace « en bas, en haut », elle domine, marque le territoire, il y a des antithèses : rosefumier, orcendres. On passe d’un extrême a l’autre, métamorphose