L’analyse du poème Mors de Victor Hugo Cet essai s’agit du poème Mors qui a été écrit par Victor Hugo, un poète romantique. Le poème est un extrait du recueil Les contemplations qui a été publié en 1856. Il est composé de 158 poèmes qui sont divisés en six livres. Ce poème se trouve dans le livre IV qui s’agit des sentiments de Victor Hugo après la mort de sa fille Léopoldine. C’était une grave crise spirituelle pour Hugo et le quatrième livre est le récit de cette crise. Le poème se compose de 20 vers. En écrivant ce poème, Hugo nous présente le triomphe absolu de la mort. Le poème entier est l’allégorie de la mort. La mort est représentée par la faucheuse. Elle est aussi désignée par « elle », « noir squelette » et « faux ». Hugo décrit comment la mort/faucheuse détruit les vies, le monde, les hommes : « elle changeait en désert Babylone, / Le trône en échafaud et l’échaufaud en trône, / Les roses en fumier, les enfants en oiseaux, / L’or en cendre, et les yeux des mères en ruisseaux. » Hugo nous montre que la mort agit en tout lieu (« en bas, en haut »), toute époque (il y a une référance à Babylone, une ancienne civilisation). La mort touche tout le monde sans exception. L’auteur écrit que l’homme est impuissant devant elle et il devient maboul : « Les peuples éperdus semblaient sous la faulx sombre ». Dans le poème, nous trouvons la personnification (p. ex. « Je vis cette faucheuse. Elle était dans son champ. »), la métaphore (p. ex. « son champ » : le royaume de la mort), les antithèses (p. ex. « roses » et « fumier », « or » et « cendre »). Néanmoins, Hugo ne fait pas l’antithèse entière en ce qui concerne l’enfant et son cadavre supposé. Il utilise donc l’expression « oiseau » qui semble être un peu plus positive en proposant l’espoir pour l’âme et sa liberté. Davantage, Hugo emploie l’hyperbole pour agrandir la souffrance des mères : « les yeux des mères en ruisseaux ». Ensuite, nous y trouvons le champ lexical de la mort, de la tristesse et de la