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Lorsque les réseaux sociaux apparaissent, chacun peut entretenir et développer son réseau social après création d’un profil. Regroupant les personnes de la vie réelle et permettant d’accéder à de nombreuses communautés, ils permettent de partager, échanger avec leurs « amis » et avoir accès à d’autres activités. Cet intérêt massif pour ces réseaux concerne surtout les jeunes. Mais sont-ils dangereux ou bénéfiques ?
Les avantages sont la multiplication d’échanges et les liens renforcés et préservés. La localisation géographique n’est plus une barrière. Le sentiment d’appartenance et la construction de l’identité sociale apportés par les réseaux sociaux améliorent le développement de l’adolescent.
On peut également constater une diminution des maux liés aux difficultés quotidiennes. Les jeunes y trouvent un réconfort et l’acquisition d’une plus grande confiance en eux. Les plus timides sont rassurés et renforcent leurs relations sociales.
Cependant, les adolescents passent beaucoup de temps sur les réseaux et présentent des symptômes de dépression. Cette « dépression facebook » inciterait à certains comportements à risque. L’inverse semble être toutefois possible et la seule certitude est que l’usage exagéré est un signal de tendance dépressive.
Ensuite, le harcèlement et le sexting sont davantage favorisés par l’utilisation des réseaux. Le manque de contrôle des informations a un impact négatif sur l’estime et le bien-être individuel.
Finalement, tous ces réseaux ne sont qu’outils. Le pire comme le meilleur peuvent subvenir suivant l’utilisation. Ce ne sont que des moyens supplémentaires pour échanger et la vie sociale n’est construite qu’à travers des relations réelles.
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