Méditations métaphysique
Je marchais, seul et pareille aux millions d'autres êtres humains qui m'entouraient.
La sonnerie du métro retentis. Je m'arrache à ma rêverie et descend à toute vitesse de la rame du métro.
L'odeur me donne brièvement la nausée mais l'habitude l'étoufe et me permet de sortire de la station sereinement.
Il fais chaud ce soir. Je porte un jean et un T-shirt rouge avec une simple pair de basquette, mon sac de toile sur l'épaule contenant mon livre et mes cours.
Je franchis cette grande porte en bois si familière et cette impression de sécuritée m'enveloppe aussitôt.
Depuis deux ans déjà j'avais appris la véritée, ici même. Je n'avais jamais compris pourquoi je n'arrivais pas à m'intégrer, nul pars. Pourquoi j'étais si solitaire, ou encore d'où venait ces brusques montées de colère que je peinait à endiguer.
Toutes les réponses sont apparus un soir, au crépuscule.
Je n'avais pas vu l'heure et je m'étais retrouvé enfermé dans le cimetière du père lachaise.
Le mauvais côté de la chose c'est que c'est la légion étrangère qui patrouille la nuit au cimetière. Hey toi là bas! Lève toi doucement.
Le cliquetis du métale d'une arme. J'avais sentis mon estomac dégringoler dans mes chaussette et une sueur glacial couler dans mon dos.
J'avais fais face au militaire qui pointait son arme sur moi. Excusez moi, j'ai pas vu l'heure. C'est ça mon cul!
Là, j'ai flippé.
Et il s'est passé...
Sur mon bras droit son apparus des inscriptions et des symboles entrelacés qui iradiais une lumière bleutée. Un instant plus tard, un craquement sec brisais le silence. Le militaire baissais les yeux et tirais sur ce qui venais de lui saisir la jambe.
Mais comment blesser un mort?
En effet, le bras jaillissait du coin d'une tombe. Avant que je comprenne ce qui se passais, mes mains me brûlais et je fus aveuglé. JE m'enfuis en courant et sautais le mur sans réfléchire au fait que j'avais bien trois mètres de vide en dessous. Je me récéptionnais dûrement mais