Mémoire d'un croyant
De la foi reçue à la foi personnelle.
Il existe une certaine manière de connaître Dieu, mais il ne s’agit pas d’une connaissance autorisant à dire « je sais ». Cela n’est jamais une certitude, mais plutôt une croyance. La croyance n’est pas quelque chose qui se prédit ou se calcule, elle relève de l’amour. On ne sait pas toujours pourquoi on aime. Un jour, après la rencontre une rencontre avec André Frossard (écrivain), l’Abbé s’interrogeat sur sa propre expérience de vie, ne comprennent pas comment en est-il arrivée à cette foi personnelle. Quand on est petit, on accepte Dieux, etc. sans besoin de preuves, le seul fait qu’on nous le dit nous suffi.
« Si tu es heureux, je suis heureux. Si tu souffres, je souffre »
« Vous voyez mes enfants, comme c’est difficile d’être digne de servir ceux qui sont si malheureux ? »
Nos choix sont influencés par le milieu où on est né. Par l’adoration, il y a une totale communion universelle.
L’Abbé a fait le noviciat des Capucins (une des principaux ordres des Saint François)., où après 6 ans et demi, il est devenu prêtre. Après ça il a quitté le couvent pour suivre des cours à l’institut catholique de Lyon. Pour raison de santé, il doit passer quelque mois à la montagne. Il décida donc de ce faire prêtre à l’église de Grenoble. Suite à ça, il rentra dans la Résistance, mais pas pour des raisons politiques, plutôt pour stopper les persécution raciale.
L’Abbé Pierre, après l’analyse de tout le chemin parcourus, a donc eu une vie remplie principalement de foi. Et, la conclusion de tout cela est bien que la foi est indissociable de l’amour.
Chapitre 2
Qu'est-ce que la foi ?
On peut avoir des certitudes pour quelque chose, sans pour autant avoir des preuves pour le justifier, prouver cette certitude, qui existe quand même. La joie, c’est Dieu qui est dans ton cœur, c’est quand on reçoit le don de la sagesse, c’est quand on sent/goute, comme c’est bon d’aimer. Dans le message chrétien, la foi est