Méthodes et outils du métier de consultant
Méthodes et outils du métier de consultant
« Est-il bon de commencer sa carrière de consultant - à 25 ans - sans réelle expérience en entreprise ? »
A cette question, les jeunes étudiants des Grandes Ecoles françaises semblent y avoir trouvé la réponse au vue de la forte part des jeunes diplômés s’orientant vers les métiers du conseil.
La démarche de ces derniers est d’autant plus stimulée par la collaboration des cabinets de conseil qui recrutent en masse ces jeunes sans expérience réelle en entreprise.
Quels arguments permettent à étudiants et cabinets d’affirmer avec conviction qu’il est « bon de commencer sa carrière de consultant à 25 ans » ?
1) Un troisième cycle opérationnel
Les jeunes diplômés peuvent considérer le conseil comme une sorte de troisième cycle très opérationnel où ils ont l’opportunité de travailler sur diverses problématiques, dans divers secteurs, pour ainsi découvrir éventuellement une vocation ou rester dans le conseil et développer une expertise.
Le conseil permet aux jeunes diplômés d’acquérir une méthodologie à travers une expérience intense. Apporter des solutions aux problèmes rencontrés par les entreprises clientes nécessite un haut niveau de rigueur afin de produire des livrables clairs et concis.
Les nombreuses missions en entreprise ainsi que les divers projets en interne poussent les consultants à devenir particulièrement organisés s’ils souhaitent réaliser leurs travaux en tenant les délais.
La pression de ces derniers est d’ailleurs indéniable dans les cabinets de conseil, d’où le développement de qualités certaines en matière de gestion du stress et de la pression.
Les tâches des consultants consistent à collecter des informations, réaliser des travaux d’analyse et de synthèse en collaboration avec des consultants plus expérimentés.
Grâce aux nombreuses intéractions avec des personnes à tous les niveaux de l’organisation cliente, les jeunes consultants