Nana, emile zola, chapitre 7
Muffat sur ! Nana en sa présence. …afficher plus de contenu…
Par ailleurs, l’auteur fait une description péjorative de la femme. En effet il use du lexique de la pourriture pour la désigner : « pourrissait » l.7 ; « mort » l.11 ; « charogne » l.11.
Aussi, Emile Zola expose la classe sociale de Nana en opposant les deux milieux liés à la courtisane. La figure de style antithèse est omniprésente et donne un sentiment de contradiction : « le peuple remontait et pourrissait l’aristocratie » l.7 ; « l’ordure […] éclat de pierreries » l.11-12 ; « le long des chemins […] les palais » l.12-13. Outre cela, Emile Zola fait une représentation naturaliste d’Anna à la suite d’une étude sur la génétique à travers le vocabulaire de l’hérédité et de l’alcool : « quatre ou …afficher plus de contenu…
Nous nous étions demandé comment Zola fait la description d’Anna Coupeau. Dans un premier temps nous avons montré qu’il valorise Nana en usant d’énumérations et se sert des champs lexicaux de la pourriture pour mettre en avant un aspect péjoratif chez la prostituée, de plus Zola utilise l’antithèse pour montrer les classes sociales associées à Anna. Dans un second axe nous avons analysé qu’Emile Zola insert du naturalisme avec le champ lexical de l’hérédité, mais aussi à l’aide de comparaisons et de l’imparfait. Ainsi c’est par l’usage de ces procédés littéraires que Zola décrit Nana dans cet extrait. Nous pouvons faire le parallèle