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Dans les sociétés qui essaient de contrôler l’incertitude, l’anxiété se manifeste dans des démonstrations d’agressivité et à travers une extériorisation des émotions pour lesquelles la société a organisé des issues de secours. Dans ces pays-là, le haut niveau d’agressivité rend dangereux les conflits et la concurrence entre les personnes. Les pays qui acceptent davantage l’incertitude de l’avenir sont aussi ceux où l’on prend le plus facilement des risques personnels. La réalisation personnelle passe dans ces pays, par la prise d’initiatives, alors que pour les autres elle se définit plutôt en termes d’acquisition de sécurité, ce qui empêche les individus de prendre des risques d’ordre personnel. Les pays angoissés par l’avenir sont aussi ceux qui pratiquent des religions insistant sur des certitudes absolues et intolérantes vis-à-vis d’autres religions. L’incertitude est un concept clé des théories modernes d’organisation, souvent relié à un autre concept : celui de l’environnement (tout ce que l’entreprise ne contrôle pas directement) dans lequel fonctionne l’organisation. Les entreprises tentent de contrôler les évènements incertains de deux façons différentes : elles contrôlent les besoins futurs qu’elles peuvent correctement anticiper et puis elles contrôlent et surmontent les besoins futurs de leur environnement, en imposant des plans, en mettant en œuvre des procédures standardisées d’opération et en suivant des traditions industrielles. La vie des entreprises se trouve profondément affectée par cette dimension culturelle. De même que les sociétés humaines utilisent la technologie, la loi et la religion pour lutter contre l’incertitude, les entreprises emploient aussi des techniques, des règles et des rites. Ces derniers ont pour fonction de rendre tolérables les incertitudes inévitables. On peut les classer de la manière suivante : réunions, programmes de formation au management, mémos et rapports, certaines parties du système de comptabilité, une grande

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