Nietzsche - dm philo

607 mots 3 pages

DM de Philosophie : Nietzsche
Le Risbé Louis, T°S : 11/10/2011

I. Dégager l'influence sur nos pensées de : notre origine, nos relations, notre situation et notre emploi.

Tout d'abord, oui, notre origine peut influer sur nos pensées dans le sens où on est souvent « conditionnés » par notre univers familial : Principes, religion, manière de penser, opinions politiques, quand on est élevés toute notre enfance dans le même environnement, l'influence parentale et familiale est évidemment très forte. Par exemple, une personne élevée dans un milieu très modeste n'aura pas la même vision de l'argent qu'une autre élevée dans un milieu extrêmement aisé.

Nos relations peuvent aussi influencer nos pensées, par exemple dans le cas où on aurait un proche qui a une grande influence sur nous, car on lui est attaché ou car il possède un certain charisme qui fait qu'on adhère plus facilement à ses opinions. Mais ce n'est pas la seule situation possible, il existe également le cas des hommes ou des femmes qui s'efforcent de penser comme leur partenaire par peur de voir leur relation se terminer.

Notre situation peut influer sur nos pensées. Tout d'abord au niveau financier et ensuite au niveau social, dans les différentes hiérarchies. Avoir du pouvoir peut radicalement changer la façon dont on voit les choses.

Pour finir, notre emploi peut également influer sur nos pensées. Les différences entre les métiers peuvent influer, par exemple entre les différents secteurs : primaire, tertiaire, secondaire; il est probable qu'un agriculteur ne voie pas les choses comme par exemple un chef d'entreprise travaillant à la ville. Les deux n'auraient pas la même manière de penser au travail.

II.Deux exemples de « vues régnantes » aujourd'hui en France :

-Le racisme. En effet, aujourd'hui, en France, même si la plus grande majorité des gens se revendiquent ne pas être raciste, encore un grand nombre de gens ont encore un point de vue négatif sur toute les minorités (surtout

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Mais autrement, ils sont d'une paresse décidée, quand même cette paresse devrait entraîner l'appauvrissement, le déshonneur, les dangers pour la santé et pour la vie. Ils ne craignent pas autant l'ennui que le travail sans plaisir il leur faut même beaucoup d'ennui pour que leur travail puisse leur réussir. Pour le penseur et pour l'esprit inventif, l'ennui est ce "calme plat" de l'âme qui précède la course heureuse et les vents joyeux ; il leur faut le supporter, en attendre l'effet à part eux : c'est cela précisément que les nature moindres n'arrivent absolument pas à obtenir d'elles-mêmes ! Chasser l'ennui de n'importe quelle façon, cela est vulgaire, tout comme le travail sans plaisir est vulgaire.….

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Nietzsche
342 mots | 2 pages

Quand je donne la définition du mammifère et que je déclare, après avoir examiné un chameau, « voici un mammifère », une vérité a certes été mise au jour, mais elle est néanmoins de valeur limitée, je veux dire qu’elle est entièrement anthropomorphique et qu’elle ne contient pas un seul point qui soit « vrai en soi », réel et valable universellement, abstraction faite de l’homme. Celui qui cherche de telles vérités, ne cherche au fond que la métamorphose du monde en les hommes, il aspire à une compréhension du monde en tant que chose humaine et obtient, dans le meilleur des cas, le sentiment d’une assimilation. Semblable à l’astrologue qui observait les étoiles au service des hommes et en connexité avec leur bonheur et leur malheur, un tel chercheur considère le monde entier comme lié aux hommes, comme l’écho infiniment brisé d’un son originel, celui de l’homme, comme la copie multipliée d’une image originelle, celle de l’homme. Sa méthode consiste à prendre l’homme comme mesure de toutes choses ; mais de ce fait il part de l’erreur de croire qu’il aurait ces choses immédiatement devant lui, en tant que purs objets.….

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Nietzsche
1186 mots | 5 pages

Philosophie Dans ce texte Nietzsche nous explique que pour arriver à se comprendre entres des amies, des amoureux parmi les membres d’un même peuple il faut certes parler la même langue mais il faut plus profondément avoir des expériences qui sont identiques, c’est-à-dire, au moment où l’on emploie un terme ou un mot il faut que ce que je dise vous le compreniez que vous ayez la même chose en tête, ça veut dire que pour qu’il y est une compréhension mutuelle il faut un univers de pensé, d’émotion qui soit identique. C’est la thèse globale qui est soutenue par le texte. Dans le texte ont peu voir qu’il y a plusieurs mots de liaison. Il y a « pourquoi » qui va donner un première argument, « encore » un deuxième argument et « enfin » le troisième argument. « Ou plutôt » pourrait être un mot de liaison même si c’est une sorte de concession, il va annoncer une nuance, une reformulation.….

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Nietzsche
288 mots | 2 pages

» […] Mes protestations n’ont été d'aucun secours pour dire que mes parents et mes oncles partie du Pays Basques, étaient heureux et contents de rester sur la plage du Sud de Tenerife. II) Expression personnelle 1) Para mi las frases me hacen pensar que Tenerife perdió estas raíces porque es una isla y sobre una isla hay siempre pescadores y la primera frase deja pensar el contrario. La tercera frase nos dice que « nadie hablaba español » es la cima(le comble) para una isla española. Tenerife a querer demasiado desarrolle el turismo de masa, a olvida conserva resta tradición.….

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Nrpp
592 mots | 3 pages

Les personnes dont je m'occupent arborent parfois des attitudes où je ressens un besoin affectif. J'explique cela dans le fait que le quotidien est chargé d'une variété de moments relationnels, où la proximité, la question de l’attachement, le besoin d'exister aux yeux de l'autre est nécessaire et important pour ces personnes. Dès lors, je fais en sorte de pouvoir répondre à ces comportements, tout en y mettant une certaine distance. Les deux exemples suivants mettent en évidence ce que j'ai essayé de développer ci-dessus.….

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Nietzsche - recueil d'opinions
84496 mots | 338 pages

On distinguait des nids de mitrailleuses, des véhicules militaires et des hommes armés. Pour passer, il fallait montrer ses papiers et fournir des renseignements personnels, ce qui créa quelques frictions entre les militaires et la presse internationale. Dans un paysage magnifique de monts enneigés, Silo commença à s’adresser à un auditoire de deux cents personnes. La journée était froide et ensoleillée. Aux environs de midi, tout était fini.….

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Nietzsche
514 mots | 3 pages

Nietzsche : Ego et fantôme d’ego Nous nous sommes demandés ce qui (en nous, = ego) tenait de notre propre construction et ce qui tenait à l’influence des autres ( positive ou négative ). Cette question faisait suite à l’injonction Socratique " connais-toi, toi-même" c’est aussi la force des pré-jugés ( déjà jugés... avant analyse ) qui est l’objet de cette question.….

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Nietzsche Philo Paupau
913 mots | 4 pages

Dans cet extrait de « Crépuscule des idoles », Friedrich Nietzsche pose une forte critique de l’Eglise, en tant que celle-ci dresse les hommes sous prétexte de les améliorer en imposant ses dogmes. Or, sa manière de nous faire intérioriser la morale et d’apprendre notre devoir, censée nous rendre meilleur, est-elle vraiment la bonne voie ? Cette technique est-elle appliquée de la bonne façon ? Pour appuyer sa critique Nietzsche rejette premièrement l’idée que la morale correspond à l’amélioration, en comparant la doctrine religieuse au dressage animal. Dans un second et dernier temps le philosophe condamne explicitement l’Eglise pour avoir rendu dépendants les hommes d’elle à travers un mensonge.….

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Nietzsche dans les grandes lignes
2796 mots | 12 pages

L’idéal ascétique de renoncement aux plaisirs et aux biens de ce monde, la culpabilisation à outrance, l’altruisme poussé jusqu’à la compassion, jusqu’à l’idée qu’il y a du mérite à se faire souffrir: cela n’est pas bon pour tout le monde ! Voilà ce que dénonce Nietzsche: une idiosyncrasie (sensibilité propre à chacun, réaction individuelle) morale que l’Église a voulu répandre….

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Nietzsche
277 mots | 2 pages

» – Mais là nous avons déjà imaginé une fausse unité qui n’existe pas. Le fait d’une croissance multiple, avec des initiatives propres et demi-propres, disparaît et est nié si nous supposons d’abord une unité grossière, « la plante ». Ce qui est visible avant tout, c’est que ces derniers « individus », infiniment petits, ne sont pas intelligibles dans le sens d’un « individu » métaphysique et d’un « atome », et que leur sphère de puissance se déplace sans cesse ; mais chacun de ces individus,….

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Nietzsche Et Heidegger
4180 mots | 17 pages

Angèle Kremer-Marietti Le Nietzsche de Heidegger Sur la Volonté de puissance1 Heidegger part d'un point de vue strictement heideggerien quand il affirme que la « Volonté de Puissance dénomme le caractère fondamental de tout étant » (N I, 36) 2. Sur la base de la notion d'étant, qui indique la perspective à partir de laquelle il va vouloir intégrer Nietzsche dans sa problématique propre, dès le principe Heidegger fait remonter la position nietzschéenne ainsi présentée à tout ce que la tradition allemande a pu apporter quant à la notion de volonté, avec Schopenhauer, Schelling, Hegel, Leibniz. Il ajoute même avec hauteur : « La dépendance n'est jamais que celle de la petitesse par rapport à la grandeur »….

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descartes vs Nietzsche
475 mots | 2 pages

Le philosophe Descartes appuie le dualisme du corps et de l’esprit. Il croit en la force de l’esprit libre mais l’esprit libre qui doute. L’esprit est pour lui une «substance pensante et immatérielle». Avec cette force de l’esprit, Descartes conçoit un dualisme plutôt ferme entre le corps et l’esprit. Le corps fait partie de la « substance matérielle».….

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Critique Du Cogito Par Nietzsche
280 mots | 2 pages

La pensée est présentée comme quelque chose d’impersonnel qui n’est pas produite par un individu; c’Est-ce que nous indique la tournure passive. Nietzsche rend la pensée indépendante d’un sujet qui la porterait à la première personne. Nietzsche reproche à Descartes le fait que son cogito postule l’existence d’un sujet qui existerait comme une chose, une substance. (Chez Descartes, le « Moi » est d’abord défini comme une res-cogitans, une chose qui pense.) La démarche de Descartes est expliquée par Nietzsche à partir de notre habitude grammaticale qui consiste à reconnaître derrière toute action produite un sujet réel qui en serait l’auteur.….

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Nietzsche
1970 mots | 8 pages

Friedrich Wilhelm Nietzsche (prononcé en allemand [ˈfʁiːdʁɪç ˈvɪlhɛlm ˈniːt͡sʃə ], souvent francisé en [nit͡ʃ ]) est un philologue, philosophe et poète allemand né le 15 octobre 1844 à Röcken, en Prusse, et mort le 25 août 1900 à Weimar, en Allemagne. L'œuvre de Nietzsche est essentiellement une critique de la culture occidentale moderne et de l'ensemble de ses valeurs morales (issues de la dévaluation chrétienne du monde), politiques (la démocratie, l'égalitarisme), philosophiques (le platonisme et toutes les formes de dualisme métaphysique) et religieuses (le christianisme). Cette critique procède d'un projet de dévaluer ces valeurs et d'en instituer de nouvelles dépassant le ressentiment et la volonté de néant qui ont dominé l'histoire de l'Europe sous l'influence du christianisme ; ceci notamment par l'affirmation d'un Éternel Retour de la vie et par le dépassement de l'humanité et l'avènement du surhomme. L'exposé de ses idées prend dans l'ensemble une forme aphoristique ou poétique.….

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Friedrich Nietzsche
581 mots | 3 pages

Friedrich Nietzsche « L’homme a besoin de ce qu’il y a de pire en lui s’il veut parvenir à ce qu’il a de meilleur. » Enfance et famille Friedrich Nietzche est un célèbre philosophe, philologue et poète. Il est né à Röcken dans le Royaume de Saxe (Allemagne) en 1844.….

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