PARTIE 1
La recherche du travail est d’abord fondée par rapport au revenu. Les personnes maintenant préfèrent faire un travail qui ne leur plait pas forcément mais qui leur assure un revenu, exemple à la ligne un « souci commun à presque tout les habitants des pays civilisés » et un train de vie confortable. Le plaisir passe après le paraître, et l’intérêt personnel. C’est maintenant devenu la norme. Le travail n’est plus source de plaisir et de joie mais c’est plutôt un moyen en vue d’une fin qui est l’argent, le salaire. On ne fait plus un travail pour exercer un métier qui nous plait, ou ne fait plus d’études qui nous intéressent dans le but de faire le métier que l’on rêve de faire mais on fait un travail s’il rapporte de l’argent et si l’on en tire des bénéfices. Plus le salaire est élevé plus les personnes désirent exercer cette profession. Le revenu n’est plus un moyen mais devient une fin. Le travail n’est plus source de plaisir mais juste un travail motivé par le seul goût du profit.
Cette idée que de plus en plus de personnes « cherchent un travail pour le gain » est cependant nuancée par le « mais » à la fin de la ligne 3. En effet Nietzsche s’attarde sur les personnes qui pratiquent un emploi pour la joie de faire et la gaieté de se lever le matin en se disant qu’ils vont faire quelque chose qu’ils aiment. Et que même s’ils n’ont pas à la fin du mois un salaire exceptionnel, ils auront une autre satisfaction, celle d’être heureux. C’est personne là sont d’autant plus louable puisqu’ils « aiment mieux périr que travailler sans joie ». Ici alors la tendance se renverse le plaisir est vu comme la fin du travail, le but en soi. C’est l’épanouissement de soi qui prime alors sur le reste et qui est alors recherché dans le travail. Il n’est pas motivé par le gain monétaire mais plus par le gain intellectuel, naturel et matériel de son travail « le gain des gains dans le travail même »
Après avoir exposer le principe du travail source de plénitude et de