Philosophie
Dans ce texte Nietzsche nous explique que pour arriver à se comprendre entres des amies, des amoureux parmi les membres d’un même peuple il faut certes parler la même langue mais il faut plus profondément avoir des expériences qui sont identiques, c’est-à-dire, au moment où l’on emploie un terme ou un mot il faut que ce que je dise vous le compreniez que vous ayez la même chose en tête, ça veut dire que pour qu’il y est une compréhension mutuelle il faut un univers de pensé, d’émotion qui soit identique. C’est la thèse globale qui est soutenue par le texte. Dans le texte ont peu voir qu’il y a plusieurs mots de liaison. Il y a « pourquoi » qui va donner un première argument, « encore » un deuxième argument et « enfin » le troisième argument. « Ou plutôt » pourrait être un mot de liaison même si c’est une sorte de concession, il va annoncer une nuance, une reformulation.
Selon Nietzsche il ne suffit pas pour se comprendre mutuellement d’employer les mêmes mots il faut encore employer les mêmes mots pour désigner les mêmes sortes d’expérience intérieur. Il faut enfin avoir en commun certaine expérience. Cette première phrase contient la thèse et l’idée principale du texte. Cette thèse se comprend de la manière suivante : Nietzsche commence par nous présenter une première hypothèse qui est : Il ne suffit pas pour se comprendre d’employer les mêmes mots. Il va alors répondre à l’hypothèse : La compréhension vient seulement du fait que l’on partage le même langage. On va alors se poser la question : Comment arrive-t-on à échanger avec le langage des émotions ou sentiments ?
Nietzsche répond à ça, il nous dit que le simple fait de partager un langage commun ne suffit pas à assurer la compréhension, la compréhension veut dire le fait non pas seulement d’être capable de voir plus ou moins ce que les gens veulent dire mais d’être capable de se mettre à leurs place. Quand quelqu’un nous explique ce qu’il vit et qu’on essaye de le comprendre, pour le comprendre