NOTE D’ANALYSE

Au cours de mon stage CESF au sein d’un Centre d’Action Sociale SNCF de la région parisienne, j’ai été amenée dans un premier temps à observer puis dans un second temps à conduire des Interventions Sociales d’Aide à la Personne (ISAP). Ainsi j’ai été sensibilisée aux techniques d’entretien liées à la relation d’aide à mettre en œuvre au cours des accompagnements sociaux. A travers cette note, j’analyserai la méthodologie mise en place afin de mener à bien une intervention sociale d’aide à la personne.

De par ses missions spécifiques et de son régime spécial, le service d’action sociale insérée à l’entreprise SNCF est chargé :
-d’accompagner les agents en arrêt de travail prolongé, en maladie ou de les soutenir dans leur vie professionnelle ;
-de contribuer à la conciliation de l’exercice de la responsabilité parentale et de l’activité professionnelle ;
-d’aider les pensionnés à préserver au maximum leur autonomie.

Pour cela, le service d’action sociale met à la disposition de ses ressortissants rencontrant des difficultés familiales, professionnelles ou liées à la vie quotidienne, un accompagnement spécifique à la situation de chacun.
De ce fait, le CESF est chargé de mettre en place la politique d’action sociale SNCF en faveur de ce public spécifique.
De nombreuses aides financières, qu’elles soient sous forme d’aides ponctuelles ou d’urgence, sont accessibles aux agents, pensionnés et ayants droit, sous certaines conditions.
Ces aides financières ont pour objectif de permettre aux bénéficiaires de pallier un manque dû à un imprévu de la vie quotidienne.
En effet, elles peuvent être accordées lorsque ces bénéficiaires rencontrent d’importantes difficultés financières (frais de réparation de voiture, impayés de loyers, multiples crédits à la consommation…) ne leur permettant pas de subvenir à des besoins vitaux tels que se nourrir ou se vêtir.
Certaines aides financières ponctuelles sont spécifiques à la SNCF. Par exemple, nous