Nous n aimons que ce que nous connaissons
Au début de son existence, l’homme se contentait de satisfaire ces besoins élémentaires, se nourrir, dormir, se loger… indispensable à sa survie. Petit à petit grâce à son inventivité, l’homme a accédé à de nouveaux besoins comme celui de se chauffer, de s’instruire, de voyager, de se soigner… Le feu a permis non seulement de se chauffer mais aussi de mieux manger et de se protéger des dangers. La roue a donné naissance à de nouveaux moyens de transport permettant de plus grands déplacements. L’écriture a permis aux hommes de s’instruire et d’échanger des connaissances.
De fil en aiguille, les inventions sont devenues de plus en plus nombreuses et les développements technologiques se sont multipliés. Qui pourraient aujourd’hui dans notre civilisation occidentale se passer d’une maison avec chauffage, de l’eau courante, d’un GSM, d’une connexion internet , d’une voiture,… ? D’autres besoins d’ordre philosophique sont également apparus, tels le besoin d’aimer et d’être aimer, celui d’être heureux…
Comme le dit Samuel Mark, « La civilisation est une multiplication indéfinie de besoins dont on n’a pas besoin ». Notre civilisation capitaliste crée de plus en plus de besoins factices insatisfaits car c’est le moteur sur lequel est basé notre croissance. La