Occident, est-ce le creépucule ?
En dépit de la chute du mur de Berlin en 1989, le monde occidental se trouvait confronté à une nouvelle idéologie qui actualisait le système capitaliste et libéral. Elle visait la libéralisation des économies, l’austérité des politiques et la privatisation du secteur publique. * Les effets pervers de la mondialisation :
Dans un contexte de libéralisation et d’ouverture des économies occidentales, la mondialisation jouait le rôle d’une arme à double tranchant. Au moment ou cette dernière a créer une certaine dynamique économique, elle accentuait des déficits chroniques dans les économies des pays, elle a engendré des dysfonctionnements au niveau des marchés qui souffrent d’une onde concurrence, voir la fermeture d’un certain nombre de firmes et d’usines et le licenciement des ouvriers. Le libéralisme dans le monde occidental ne fur jamais équitable et ne profitait qu’aux pays les plus forts, notamment les Etats unis qui tenait à vendre ses produits à l’extérieur dans le cadre d’une réduction ou suppression des droits de douanes, par ailleurs elle refusait la levée des barrières tarifaires pour certains produits qui ont tentation à concurencer son marché local. Dans ce contexte, les pays occidentaux se sont trouvés dans une situation de crise et d’endettement. La mondialisation a eu des effets négatifs que positifs qui ont été cause d’un début d’une crise disant mondiale. * L’accentuation des disparités entre les centres et le périphéries :
La libéralisation des échanges dans le monde occidental étant source de dysfonctionnement et d’inégalité sociales. En effet la crise néfaste a généré une hausse des prix et surtout ceux des produits alimentaires ce qui a amené à la diminution du pouvoir d’achat des populations et a aggravé l’écart entre les démunis et les favorisés.
Science sans conscience : * Les dérives de la science :
Parmi les effets pervers de la science l’utilisation du