Olympe de g
Femme de lettre, puis femme politique et polémiste, considéré comme l'une des pionnière du féminisme. Son écrit politique le plus célèbre est la « Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne » (septembre 1791), véritable manifeste du féminisme adressé à Marie-Antoinette. Prenant pour modèle la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, elle affirme que « la femme naît et demeure égale à l’homme en droits » (art. 1er)
À la suite de la publication de Nicolas Condorcet, sur « l’admission des femmes au droit de cité »
Elle considère que la femme détient des droits naturels au même titre que l’homme et doit pouvoir participer en tant que citoyenne à la vie politique et au suffrage universel. Olympe de Gouges revendique également pour les femmes la liberté d’opinion.
Suffragette :
femme qui, en Angleterre, militait pour le droit de vote féminin, avant la modification de la loi électorale, en 1903.
Elles obtiennent finalement gain de cause, après un combat acharné, en 1918, les femmes britanniques de plus de 30 ans ont le droit de vote.
1936 :
Cécile Brunschvicg (1877-1946) fut membre du parti radical. Sa nomination au poste de sous-secrétaire d'État à l'Éducation nationale dans le gouvernement de Léon Blum se fut en 1936.
Suzanne Lacore (mai 1875-novembre 1975), sous-secrétaire d'État à la Santé publique, chargée de la protection de l'enfance du 4 juin 1936 au 21 juin 1937.
Irène Joliot-Curie, fille de Pierre et Marie Curie, démontre, avec son mari Frédéric Joliot, l'existence du neutron et découvre la radioactivité artificielle. En 1935 elle partage avec son mari le prix Nobel de chimie. Elle est nommée sous-secrétaire d'État à la recherche scientifique du gouvernement de Léon Blum. (1er prix Nobel en 1903