Ophelie..
Rimbaud ne nous raconte pas l’histoire, mais c’est bien à cette Ophélie qu’il fait référence. Il nous raconte plutôt les environs sur le fleuve ou elle s’est noyée.
Dans le poème, Rimbaud fait quelques comparaisons concernant Ophélie, utilisant celles-ci pour la décrire: «La blanche Ophélie flotte comme un grand lys» (v.2) et «Ô pale Ophélia! belle comme la neige!» (v.17). Dans la première comparaison, il la compare à une fleur de lys, cette fleur réprensentant et étant dédiée à la Vierge Marie. On peut comprendre par la qu’Ophélie est, pour Rimbaud, divine et pure. Dans la seconde comparaison, il trouve que la blanche (ou bien très pâle) Ophélie est aussi belle que de la neige. Dans le fond, la neige, un beau paysage blanc, est vue comme quelque chose de magnifique, qui pour lui, ressemble à Ophélie.
La nature est aussi personnifié quelques fois dans le texte. Les saules pleurent (v.11), les nénuphars soupirent (v.13), les mers râlent (v.25), les arbres se plaignent (v. 24) etc. Ce que je peux en comprendre, c’est peut-être que la nature bouge autour d’Ophélie qui n’est plus vivante. La nature prend vie lorsqu’Ophélie meurt, ou bien vu qu’elle n’est pas vivante. Tous les éléments de la nature sont centrés autour d’elle, ils éprouvent des sentiments envers ce qu’ils voient.
Lorsqu’il dit: «Voici plus de mille ans que la triste Ophélie/Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir», on peut voir que son âme, son fantôme peut se voir tous les jours sur le fleuve ou elle s’est