Opus bwiti
Synthèse scientifique et la religion d’Iboga
Septembre 2006
Mort métaphysique à l’échelle de Planck
Après la lecture de Bogdanov : Avant le Big-bang, le rapprochement avec la métaphysique découle des impressions de grande similitude. De manière délibérée, Bogdanov a omis d’introduire le potentiel de la conscience sans laquelle il n’aurait pas pu écrire sa thèse, même de manière déductive. Cette relation dichotomique va pourtant servir de base au langage. Les choses cachées et révélées sous Iboga sont, quant à elles, purement intuitives, mais certaines perceptions extra-sensorielles font le lien entre la thèse de Bogdanov et une mort métaphysique. Celle-ci permettrait d’observer le temps réel à partir du temps imaginaire, le créé à partir de l’incréé et par-là, de ne plus opposer les deux. Comme le dit Bogdanov, le mur et le cône de lumière sont partout et donc aussi dans l’Homme. Les révélations d’Iboga peuvent décrire les mécanismes qui explicitent la cinquième dimension. Le premier qui aurait pu se poser une telle question est notre inconscient, car à moins d’être chercheur, rien dans la réalité n’invite à cette hypothèse. Or l’interaction, entre la question et la réponse, laisse entrevoir la présence d’une intuition antérieure. Pourquoi ? Par ce qu’une fois la réponse révélée, nous en sommes sûr, nous ne doutons pas de ça, c’est l’évidence qui nous libère du poids de notre ignorance, nos yeux sont anéantis devant leur impuissance. Il faut dire que le mystère est présenté, ne peut être que reçu et qu’au-delà d’une vague intuition, nous ne sommes pas préparés à ça. Les intuitions des chercheurs à la conscience déductive et compilateurs en recherche scientifique sont tout aussi passionnantes : Les nombres imaginaires ont un comportement étrange qui viole plusieurs lois sur lesquelles reposent les nombres réels : par-dessus tout, leurs carrés donnent des nombres réels négatifs ! Mais eux aussi peuvent être représentés par une droite :