Paysage baudelaire
On peut se demander comment le poète transforme la réalité en rêve ?
Il convient d’étudier en premier la description réel des lieux et des activités, et dans un second temps le paysage transformé et idéalisé.et dan, un troisièmes ,et dernier temps, la situation du poète qui favorise la création.
Baudelaire, peint le paysage qu’il voit , le Paris du 19ème siècle, de sous les toits, « du haut de ma mansarde » (vers5).Il décrit un Paris industriel ,avec des métonymies « l’atelier » (vers 7) « les tuyaux » (ver 8) qui représente les usines, avec la métaphore « mats de la cite » (ver 7) qui fait référence au cheminées, mais aussi des choses du quotidien « lampe a la fenêtre » (ver 10) , « les clochers » (ver7)
Baudelaire décrit aussi les actions, « qui chante et qui bavarde » ( ver 6 ) cette proposition subordonnées relatives renvoie a l’atelier, cette personnification décrit le bruit et l’activité des usines qui se trouvaient dans la capital.
Baudelaire fait référence aussi a la révolution de février 1848 et la proclamation de la Seconde République par l’allegorie vers 21 « Emeute ».
Baudelaire après avoir décrit le Paris que tout le monde voit tout les jours, il passe a une descriptions de Paris selon sa perception..
Le Paris que décrit le poète a partir de la seconde strophe, vers 9 a la fin, est idéalisé. Le bruit fait par l’usine devient un chant, le son des clochers se transforme en hymnes « leurs hymnes solennels emportés par le vent » ( vers 4) la perception du monde devient agréable et cette perception se fait surtout par la vue : la métaphore « les fleuves de charbon monter au firmament » (vers11) montre la nuit