Politique : politique fiscale, primes à la casse, prêts financier pour les marques françaises…

Les décisions politiques influencent de façon importante les entreprises automobiles via des politiques fiscales.
Les pouvoirs publics français ont par exemple accordé des primes à la casse et des bonus/malus sur les automobiles. Des prêts ont de plus été accordés par le gouvernement français aux marques françaises.

Economique : structure de l’environnement, de la population, prix du carburant, pouvoir d’achat, taux de chômage…
L’environnement est concurrentiel et oligopolistique. Le climat des affaires et la situation économique sont peu favorables. On constate une détérioration du pouvoir d’achat des ménages et à la faible croissance sur le marché.

Le marché de l’automobile (surtout dans les pays développés) souffre d’une surcapacité.
Le développement des pays en développement qui forment les marchés émergents est une opportunité. Cependant, ce développement correspond aussi à l’apparition de nouveaux concurrents.

Socio-culturel : comportement d’achat, mœurs, attentes…

Les consommateurs semblent avoir modifié leur attitude vis à vis de l’automobile (« l’ère de l’achat raisonnable »).
De plus en plus d’Européen selon sont « prêts à acheter un modèle à bas prix ».
La voiture semble s’être démocratisée mais les attentes ont également évolué. « La voiture blingbling, c’est fini. Les automobilistes privilégient de moins en moins le standing, le style ou le confort ».
Les attentes se portent cependant toujours sur « la sécurité et la fiabilité ». Les consommateurs cherchent en revanche à réduire leur budget dans le domaine de l’automobile. La recherche de produits plus économes en énergie devient également une priorité.

Technologique : évolutions futures, caractéristiques produit, ex : mode de propulsion ; nouveaux matériaux…

L’environnement technologique est en perpétuelle évolution. La recherche et développement prend une place non