A) déjà faut que tu définisses ce que c´est la conscience, et la conscience de soi car si ta pas conscience que t´existe, tu peux pas te connaitre donc sans conscience pas de connaissance.

Alors, pour la partie favorable, tu peux parler de l´introspection , que c´est un moyen d´atteindre la connaissance de soi, ensuite tu peux dire que la conscience est une condition universelle de toute connaissance, là tu parles des deux sortes de conscience, psychologique et morale, tu dis ce qu´elles aportent, et tu peux aussi parler qu´Autrui contribue à notre connaissance de soi.

apres pour la partie plutot défavorable, tu peux parler du moi empirique, qu´en faite le Moi est basé sur l´expérience, qu´il est en changement constant donc il est pas facile de le connaitre. après comme argument tu peux prendre que pour connaitre le moi, il faut briser l´unité du moi, car pour connaitre par essence, il faut une distance entre le sujet et l´objet, entre l´observant et l´observé, mais tu peux pas te mettre à distance toi même, tu peux pas te séparer de ton être.

après pour les limites tu peux dire que l´erreur de l´être c´est les mots, car les mots sont source de tromperie, ils peuvent raconter des faits n´ayant jamais exister, ils traduisent aussi quelque chose d´unique en quelquechose de banal, c´est pas tes propres mots, mais plutot ceux de la société, c´est quand t´es seul avec toi même que t´arrive à avoir et trouver tes propres mots, ton propre langage (CF Nietzsche)

B) Le "peut-on" n´est pas vraiment intéressant, dans cette question, il se suffit à lui-même. "Puis-je", "ai-je la capacité de", pas la peine de voir plus loin. Non, le terme central dans ta question, c´est bel et bien "soi-même". Qu´entends-tu par là ? De qui exactement parles-tu quand tu dis "moi" ? Le "moi", c´est le conscient ? l´inconscient ? les deux ? le corps ? l´âme ?
La question "Peut-on se connaître soi-même ?" impose le postulat selon lequel la connaissance de soi n´est pas une étape