philo EX
NACERA
TS1
Note :
Observation :
Dans le texte de Schopenhauer, Supplément au Monde comme volonté et comme représentation,
XLVI, De la Vanité et des Souffrances de la vie, le désir ne nous apporte pas toujours le plaisir, le bonheur. Il peut, c'est vrai, pour une quelconque raison, ne pas être satisfait. De plus, ce n'est pas parce que quelqu'un veut quelque chose, impliquant une tierce personne, advienne, que le désir de cette personne sera en accord avec le sien. Lors de la réalisation de tous les désirs on considère donc que nous avons atteint le bonheur. On a ici le bonheur apparaît comme une notion complexe dont les éléments peuvent même sembler contradictoire. Le bonheur est souvent défini comme un état de satisfaction. Pour le philosophe le bonheur est considérer comme un moment très court par rapport au moment où on sent la souffrance. C'est sur ce thème du désir et de son rapport au bonheur et au souffrance que Schopenhauer nous fait ici part de sa pensée.
Est-on heureux lorsqu'on a réalisé tous ses désirs ou bien s'ennuie-t-on par manque de défi ?
Le désir est-il toujours source de souffrance ? Comment désirer peut-il mener au bonheur ?
Pourquoi les choses agréables nous sont-elles si peu sensibles, quand les choses douloureuses le sont tellement ?
Alors, la thèse défendu par Schopenhauer est que lorsqu'on désire on n'obtient pas le bonheur mais plutôt la souffrance. Notre problématique est comment Schopenhauer nous explique que le bonheur a un côte négatif, et le philosophe a une vision pessimiste du désir ?
Pour répondre à la problématique pose ; il s'agira donc dans un premier temps d'étudier la thèse défendu par le philosophe, dans un seconde temps nous allons étudier le côté négatif du bonheur et enfin la vision pessimiste de Schopenhauer du désir.
Tout d'abord le désir nous amène à la souffrance au lieu du bonheur, dans cette parti on a le sentiment du regret de désirer qui nous amène à la souffrance. Ici Schopenhauer énonce sa thèse dès
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