Philo

645 mots 3 pages
Le fait que nous n’agissons pas d’une certaine manière avec une autre personne, afin que cette personne n’agisse pas de même pour nous, prouve que nous agissons selon nos sentiments. Ces sentiments ne se rapportent donc pas à la raison et touchent notre émotion. La phrase suivante (l.1) « agir avec autrui comme nous voulons qu‘on agisse avec nous » n’est pas adoptée par tous les hommes, si c’est derniers ne font appel qu’à leur raison, et non à leurs sentiments. En effet, vouloir agir pour quelqu’un d’autre, en se émettant à sa place, alors que nous agissons pour notre propre personne et que nous sommes sûrs que nous ne serons jamais confrontés à l’avenir à cette situation qui pourrait nous nuire, n’a aucun sens pour Rousseau.

Tous les hommes ne réagissent donc pas à leur sentiment et quelques hommes « méchants » profite de l’humanité de certain pour faire le « mal », en profitant pleinement de la situation, car il sait que le mal qu’il peut causé, ne se retournera pas contre lui devant l’honnêteté des autres.
Parfois, nous sommes naturellement bons envers une personne simplement parce que l’on pense qu’elle le mérite. On peut ressentir de la pitié envers elle, on s’identifie à elle. Tout naturellement nous nous contentons de la respecter, sans se poser la question du bien et du mal.
Nous agissons ainsi en fonction du résultat de nos actions par le fait que s’identifier à une personne, lui faire du mal, puis ressentir de la pitié, revient à nous faire souffrir nous même à travers des remords « c‘est pour ne pas souffrir que je ne veux pas qu‘il souffre». Mais comme l’homme désire être heureux il suivra la règle du « ne fais pas aux autres ce que tu n’aimerais pas que l’on te fasse » pour ainsi ne pas éprouver de remords et atteindre son bien-être.

Les hommes n’agissent donc pas seulement par leur raison, il agissent aussi à travers un sentiment de pitié ressentit pour un individu ce qui va empêcher cet individu de lui faire du mal à son tour, afin que

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