Philo

2441 mots 10 pages
Lycée français de Tamatave
Terminale ES

Chapitre 3
Organisation du travail[1] et croissance
(2 semaines)

Pour produire, l'entreprise combine les facteurs de production que sont le travail et le capital. Avec la montée du rationalisme moderne émerge l'idée qu'il est possible de trouver une meilleure façon d'organiser le travail afin de le rendre plus productif.

La question se pose alors de l'adéquation du mode de production de l'entreprise avec le système socio-économique, de sorte que l'activité de l'entreprise soit source de croissance.

Il s'agit enfin de s'interroger sur l'impact de l'organisation du travail sur les conditions de travail et d'emploi[2].

I- L'organisation du travail[3] au service de la croissance
A partir du début du 20ème siècle, les réflexions d'ingénieurs et d'entrepreneurs conduisent à la définition de principes d'organisation du travail qui vont s'étendre progressivement à un très grand nombre de secteurs.

Remarque :
Si les transformations sont "successives", car leur apparition se succède dans le temps, cela ne signifie pas qu'un mode d'organisation disparaît quand un autre apparaît.

1.1- Le tayloro-fordisme
On distingue traditionnellement trois grandes formes d'organisation du travail : le taylorisme, le fordisme et le toyotisme. Chacune d'entre elles a apporté des solutions particulières pour améliorer les méthodes de travail.
Cependant, il convient de citer, au préalable A. Smith qui le premier c'est intéressé à ce problème.

C'est A. Smith[4] qui le premier introduit la notion de division du travail[5] dans son exemple célèbre de la fabrique d'épingles.
Pour lui, c'est le pendant naturel des hommes à échanger qui est à l'origine de la division du travail.
En conséquence, la division du travail produit les effets suivants : accroissement de l'habileté de chaque ouvrier ; gain de temps (en passant d'un ouvrage à l'autre) ; invention de machines qui facilitent le travail.

Taylor[6] et

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