Comparaison entre l’homme et l’animal a) Dans la philosophie rousseauiste, on constate qu’il y a des différences et des ressemblances entre l’homme et l’animal. La première différenciation est que l’animal ne peut être perfectible. Autrement dit cela signifie que l’homme naturelle a la capacité de pouvoir ce perfectionner contrairement a l’animal qui demeure soumis aux lois de son espèce, sans possibilité de progresser, d’évoluer ou de changer. La liberté, est également une faculté que l’animal ne connait pas. En effet, l’animal ne possède pas la capacité d’accepter ou de refuser ce que lui dicte son instinct. Tout le comportement animal est basé sur son instinct, contrairement à l’homme qui est un agent libre. Pour ce qui est des similitudes il y a le sentiment de la pitié. L’homme naturel et l’animal ressentent la pitié de façon purement naturelle et instinctive. Ils ne peuvent pas faire de mal a une autre être de leur espèce. La pitié permet à l’homme et à l’animal, non seulement de freiner une action violente, mais enjoint à l’entraide. Cette forme de pitié a une fonction majeure selon Rousseau. La seconde similitude est l’état de nature. Autrement dit, l’état de nature de l’homme est semblable à celle d’un animal. Les deux possèdent seulement les facultés d’apercevoir et sentir. Aucune forme de communication telle que le langage n’existe. b) Selon moi la perfectibilité est une faculté qui est propre à l’homme puisque celui-ci évolue dans le temps. Donc historiquement il y a eu beaucoup de progrès que l’homme n’aurait pu empêcher. Autrement dit cela signifie que le progrès est une « obligation » chez l’homme puisqu’il doit survivre dans l’histoire et dans différent environnement. Contrairement a l’animal qui demeurent toujours dans le même environnement, qui vie du jour au lendemain et qui chasse pour se nourrir. Par contre, la pitié est un sentiment qui, selon moi, se doit d’être ressentis par tout être vivant puisque ce sentiment permet à