Philo

430 mots 2 pages
Nous allons premièrement voir qu'il est possible de pas savoir ce que l'on fait. Effectivement, il arrive que nous fassions des choses sans vraiment nous en rendre compte, car ces actions s'installent dans une routine, donc on ne sait pas vraiment ce que l'on fait. Par exemple, lorsque je croise mon patron, je lui souris par politesse mais je n'ai pas réellement conscience que je lui souris. Ce serait comme une habitude mécanique, un réflexe. Ces actions automatiques prouvent qu'il est possibles de ne pas savoir ce que l'on fait. Mais parfois ces actions involontaires sont dues à la fatigue, qui provoquerai un manque d'attention. Ainsi, je pourrai, par inattention, commettre un lapsus en appelant mon professeur " maman " à la place de " madame ".
L'émotion peut également jouer un rôle , en effet sous le coup de l'émotion, je peux ne plus me contrôler et mal agir. Je peux ne plus être totalement responsable de mes actes.

1 ) Ai-je toujours conscience de ce que je fais?

a - tout acte est l'expression d'une volonté b - agir est souvent un acte qui releve d'une intention consciente et réfléchie il suppose donc une réflexion

2 ) Arrive-t-il que certains de mes actes m'échappent?

a - les actes conscients mais non réfléchis ( automatisme de la vie quotidienne) b - certains actes ne sont pas le fruit d'une intention conciente ( labsus, acte manqué) c - un acte peut être illusoire (le rêve) d - l'effet produit, l'impact des mes actes n'est pas prévisible

3 ) quelle place accorder à l'inconscient, remise en cause du libre arbitre de l'homme

a - part de l'inconscient qui détermine certains actes conscients (phobies) b - la volonté humaine, le libre arbitre rend l'homme maître de ses actions

Dans la majorité des cas, il semble que nous avons conscience, que nous savons ce que nous sommes en train de faire, de réaliser. Que ce soit un mouvement, le fait de lever le bras par exemple, de marcher, ou bien un acte, le fait de frapper, nous pouvons

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