Arthur Schopenhauer, Le Monde comme Volonté et comme Représentation

L’histoire n’est qu’un ensemble d’évènements contingents. Il doute de la possibilité de pouvoir donner à l’histoire la valeur d’une science.
Qu’est ce qu’une science humaine ?
L’histoire n’est qu’un ensemble de faits singuliers.
Définition présupposée de la science qu’il puise de l’antiquité grecque, Aristote : il n’est de science que de l’universel. Et c’est en s’appuyant sur cette définition que Schopenhauer

Thèse du texte : l’histoire n’est pas une science, c’est une connaissance basée sur des faits singuliers, tandis que les sciences

Thème : L’histoire peut elle prétendre avoir la même valeur que les autres sciences ?

Thèse : il est impossible pour l’histoire de prétendre au statut d’une science et ce non pas pour un défaut de faits, mais selon une impossibilité de droit, car son objet est par nature particulier et contingent il ne peut jamais subsumé (mettre dessous), sous théorie générale ni s’inscrire dans un système explicatif achevé.
Le système est condition de science

L’histoire est une accumulation de faits inachevés.
Il déduit ce que n’est pas l’histoire par rapport à ce qu’est la science.

* Première partie jusqu’à la ligne 6 : l’histoire ne peut pas faire système * De la l.6 jusqu’à l. 15. * De « de plus » l.15 à la fin.

Condition culturelle=condition historique.

Peut-on dire de l’histoire qu’elle se répète ?

On n’écrit pas l’histoire n’importe comment car son mouvement détermine un mouvement particulier. L’histoire peut apparaître comme des faits chaotiques, qui se succèdent sans liens, imprévisibles qui ne permettraient pas de donner un sens à l’histoire, de concevoir un progrès dans la succession historique. Pourtant peut-on se contenter d’assister à la succession des formes culturelles sans chercher à s’initier à celle ci. LA tentation serait grande de chercher un sens et celui-ci n’étant pas donné, nous ne pouvons que