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Die sieben letzten Worte unseres Erlösers am Kreuze (Les Sept Dernières Paroles du Christ en croix) est un oratorio de Joseph Haydn, qui servit de base pour un cycle de quatuors à cordes. Il porte le numéro XX/2 dans le catalogue Anthony liturgique de l'église Santa Cueva de Cadix en Espagne : le prêtre devait citer chaque van Hoboken. Il s'agit d'une commande pour la semaine sainte de 1786 pour un office parole du Christ, suivi par un accompagnement musical. Il s'agit ainsi de l'une des premières commandes au compositeur provenant de l'étranger.[] Cette première version ne comprenait donc pas de partie vocale. La création eut lieu à l'église de Santa Cueva de Cadix l'année suivante. Musique de : Franz Joseph Haydn
Franz Joseph Haydn[ ] né à Rohrau sur la Leitha en Basse-Autriche, le 31 mars 1732 et mort à Vienne le 31 mai 1809, est un compositeur autrichien. Il incarne le classicisme viennois au même titre que Mozart et Beethoven, les trois compositeurs étant regroupés par la postérité sous le vocable de « trinité » .La carrière musicale de Joseph Haydn couvre toute la période allant de la fin du baroque aux débuts du romantisme. Il est à la fois le pont et le moteur qui a permis à cette évolution de s'accomplir. L'image du « papa Haydn »[2] ne vient pas des titres de « père de la symphonie » ou « père du quatuor à cordes » généreusement décernés au XIXe siècle et même de nos jours. La création de ces genres relève d'une genèse un peu plus complexe, mais Haydn a très largement contribué à leur émergence et leur consolidation.
Deux de ses frères furent également des musiciens : * Michael (1737-1806) également compositeur et collègue de Mozart à Salzbourg. * Johann Evangelist[3] (1743-1805), ténor que Joseph fit venir à Esterhaza en 1763.
Sources : Google,