La folie

Ne se considère pas fou.

Le Cœur révélateur est un récit à la première personne. C'est une nouvel courte dont le thème principal est la folie. Le narrateur essaye de démontrer qu'il est sain d'esprit en racontant son histoire.Le seul mal dont il affirme souffirir c'est une profonde acuité sensorielle... Il a une ouie très dévellopée.
Son crime est d'avoir assassiner un vieil homme borgne, dont l'oeil bleu pâle, avec une taie dessus l'aggresse, suscite son effroi. Il ne peut pas le supporter donc il doit le tuer.
"Chaque fois que cet oeil tombait sur moi, mon sang se glaçait; et ainsi, lentement, – par degrés, – je me mis en tête d’arracher la vie du vieillard, et par ce moyen de me délivrer de l’oeil à tout jamais."

Il met huit nuits à décider d'agir, car il lui faut voir l'oeil. La précaution, sa préméditation est pour lui la preuve qu'il n'est pas fou.
Chaque jour durant une semaine il observe chaque soir le vieil homme et fini par l'assassasiner les nombreuses répétition montre le coté maniaque du narrateur

Il a l'ouïe fine.
Et entends le coeur. devant

Le narrateur, anonyme, s'efforce de convaincre le lecteur de sa lucidité et de sa rationalité, mais souffre d'un mal qui « a aiguisé [ses] sens ». Le vieil homme avec lequel il vit a un « œil bleu pâle, avec une taie dessus », un œil de « vautour », qui cause tant de souffrance au narrateur qu'il décide de l'assassiner. Le narrateur insiste sur la prudence avec laquelle il a commis le meurtre pour montrer qu'il ne peut être fou. Pendant sept nuits, il ouvre la porte de la chambre du vieil homme, action qui lui prend une bonne heure. Toutefois, à chaque fois, l'œil de vautour du vieil homme demeure fermé, ce qui l'empêche « d'accomplir l'œuvre ».

La huitième nuit, le vieil homme se réveille et s'assied sur son lit tandis que le narrateur effectue son rituel nocturne. Plutôt que de reculer, celui-ci décide, au bout d'un moment, d'entrouvrir sa lanterne. Un rai de lumière éclaire