I.P.1 : Premièrement, dans la seconde moitié du XIXe siècle le jugement du peuple se base avant tout sur le bien monétaire d’un individu. I.S. 1.1 : D’ailleurs, le rang social est essentiel pour eux.
Citation : « C’était une de ces jolies et charmantes filles, nées, comme par une erreur du destin, dans une famille d’employés. Elle n’avait pas de dot, pas d’espérances, aucun moyen d’être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué ». l. 1 à 4

I.S. 1.2 : De plus, pour certain l’apparence est un signe de richesse ou bien de pauvreté.
Citation : « je n’ai pas de toilette et par conséquent je ne peux aller à cette fête. Donne ta carte à quelque collègue dont la femme sera mieux nippée [habillée] que moi.» l. 67 à 69
Explications : Dans cet extrait, Mme Loisel affirme qu’elle ne peut se rendre à la soirée, prévue par les patrons de son mari, à cause qu’elle n’a rien à se mettre. Elle agit ainsi, car pour elle tout passe dans l’apparence, elle croit à tort que sa pauvreté se reflétera dans son habillement. Ce personnage ne veut pas être jugé qu’à partir de l’argent qu’elle possède.

I.P.2 : Deuxièmement, la richesse représente une source d’attention et de puissance.

I.S. 2.1 : D’abord, pour les plus pauvres ces sources apportent un sentiment d’infériorité.
Citation : « il n’y a rien de plus humiliant que d’avoir l’air pauvre au milieu de femmes riches. » l. 98 à 99

I.S. 2.2 : Ensuite, le regard des autres est quelque chose de très important dans cette société.
Preuve : Double Énumération
Citation : « Elle était plus jolie que toutes, élégante, gracieuse, souriante et folle de joie. Tous les hommes la regardaient, demandaient son nom, cherchaient à être présentés. » l. 125 à 128
Explications : Mme Loisel se sent à sa place lors de la soirée. Comme l’indique l’énumération de ses qualités dans la citation, elle est heureuse. Le regard des autres relèves l’importance de lui prouve qu’elle est bien une femme qui a encore du charme