I] La responsabilité des parlementaires dans crises des monarchies constitutionnelles A] L’opposition constante entre assemblées et Louis XVI dans la monarchie constitutionnelle de 1791 opposition qui a eu lieu uniquement sous la monarchie constitutionnelle (conflit entre parlementaires et Louis XVI). Les parlementaires (membres des parlements ou des tribunaux) vont imposer au roi une véritable humiliation, un dénigrement, une désacralisation notamment quand le 14 septembre 1791, il devient roi des français et prête serment sur la Constitution. Les parlementaires vont finir par imposer à Louis XVI un ministre qui aura les mêmes idées que Necker (se prononce Nècr) qui soutient le coté linéaire des parlementaires. B] Le parlementarisme : source de conflits permanents avec l’autorité monarchique
C’est le parlementarisme qui est en permanence en conflit avec la Monarchie de juillet, la charte de 1814 créé un possibilité d’opposition au roi puisqu’elle créé un pouvoir législatif distinct du pouvoir souverain. Possibilité qu’a le roi de refuser les loi du parlement : cela permet de scléroser le gouvernement et d’empêcher. Responsabilité politique.
La séparation des pouvoirs ne permet pas un appareil réel et tangible de l’appareil d’État.

II] Le balancement perpétuel entre monarchie et république : l’instabilité initiatrice des échecs des monarchies constitutionnelles A] L’aspect libéral et modéré des monarchies constitutionnelles aspect libéral imposé à Louis XVI opposé aux volontés libérales et capitalistes des bourgeois. Louis XVIII souhaite faire une distinction entre le pouvoir exécutif et le législatif mais il souhaite que le législatif soit uniquement un contrôle des lois. Charles X va tenter au départ d’être un peu libéral mais cela ne pas marcher et il met fin au ministère de Martignac en instaurant celui de Polignac. Louis Philippe premier avec la modification de la charte de 1814 (drapeau tricolore, liberté de la presse etc) a aussi un aspect