Ponge
Eric Hoppenot: la Mimesis du mimosa, lexique et création poétique chez Ponge.
François Bon: Ponge feu follet noir - en 1947, Dubuffet peint "Ponge feu follet noir", un texte pour la collection Beyeler (Lausanne) | autres liens Francis Pongeautour des Cahiers de l'Herne, une belle présentation`
« On peut rêver sur un portrait de l'artiste : en jeune arbre, en ultime nouvelle feuille de la Tradition, en révolutionnaire bondissant, en phénoménologue surréaliste, en rationaliste onirique, en rationaliste dialecticien, en préhistorien d'avant-garde, en baroque-et-classique, en précieux avec simplicité, en naïf encyclopédiste, en chantre subjectif de l'objectivité, en lyrique de l'anti-lyrisme, en protestant, en sensualiste, en agnostique, en polythéiste, en animiste matérialiste, en épicurien de longue date, en existentialiste malgré lui, en communiste solitaire, en activiste paresseux, en Romain, en philologue atteint de logoscopie, en franciscain, en voyeur, en naturaliste-humaniste, en littérateur, en académicien libertaire, en telquelien des années soixante, en malherbien viril, en disciple foudroyant de Mallarmé-La Fontaine-Horace, en musicien de la peinture, en claudélien athée, et, pourquoi pas, en poète. » le site Francis Ponge de l'équipe de recherche de Jean-Marie Gleize et sur remue.net, par Jean-Marie Gleize : Chiens noirs de la prose une page sur "Fable", avec