Poéme
L'énonciation :
le poéte parle avec alternance à la premiére personne du singulier et à la troisiéme personne du singulier. Il utilise le pronom personnel "Je" et il utilise " un jeune homme " pour définir le mythe. Le poéte passe d'une description réaliste sur la fontaine et son entourage à une description faisant référence à un personnage de la mythologie Grec qui est Narcisse. L'énoncé est coupé dans la situation d'énonciation car le passé simple et l'imparfait sont utilisés dans le poéme. Le champ lexical de l'eau est trés présent dans ce poéme ( exemple : fontaine, ruisselante, sanglots ... )
L'intention du poéte :
Dans le premier quatrain, le poéte situe l'environnement de la scène qui va suivre et dans le dernier vers de ce quatrain, il fait une allusion mythologique trés forte. Dans le deuxiéme quatrain, le poéte fait un éloge du lieu et dans le dernier vers il fait également une allusions au mythe mais moins prononcé que celle auparavant.
Dans le premier trecet, le poète raconte un bréve moment de la vie du mythe évoqué, mais celui-ci est trés important pour la compréhension de la suite.
Dans le dernier tercet, le poéte révele le nom du personnage divin évoqué dans les vers précendents et c'est à ce moment que l'on comprend pourquoi le mots
" fleur " a été utilisé dans le premier quatrain. Tout au long du poéme une comparaison est faite entre une fleur ( le narcisse ) et le mythe ( Narcisse ).
Les effets produits :
Les effets produit par ce poéme sur le lecteur sont qu'il s'imagine être dans cette forêt au pied de la fontaine, en train de vivre la naissance de cette fleur qui est en faite Narcisse, une divinité