Texte de bac : La princesse de Cléves

Situation du passage
Le roman s'ouvre sur un tableau de la cours de France sous le régne de Henris II, cadre historique et lieu raffiné de fête et de vie mordene. Dans cette assemblée de personnes exceptionnelles que sont les grands royaume. L'héroine éponyme (qui porte le nom du titre) occupe une place primordiale. Son portrait achéve l'exposition (incipit) et marque le début du récit. Nous verrons tout d'abord le portrait d'une héroine classique puis la place de la mére dans cette représentation. Enfin les portraits dans la dynamique du roman.
1° axe de lecture: le portrait d'une héroine classique.
*Le mode de présentation
Ici très peu d'élements physiques par rapport au éléments moraux. Première appartition de l'héroine, le lecteur attend donc un certain nombre d'informations. Cependant, le portrait physique est développé en très peu de ligne à la fin du passage. Le nom de l'héroine n'est donné qu'à la 27° ligne pour le suspense le narrateur a retardé l'information. "IL" ligne 1 est proche de la formule des contes. Tous les invités convergent vers elle comme dans le compte de Pérault Cendrillon comme le montre ligne 4 "Une des plus grandes héritiéres de France". Le personnage apparait progressivement, son identité n'est révélé qu'à la fin comme si les lecteurs ètaient amenés à partager le point de vue des autres personnes de la cours qui découvre Mademoiselle de Chartres.
*Les éléments de la description
La dernière phrase du texte, donne des détails physiques "Blancheur du teint", "cheveux blonds" C'est un signe de noblesse et de royautée. Pas de portrait complet, la blancheur du teint donne une impression de puretée , de virginité et de mariage. Elle est concidéré comme "grande" donc beaucoup de thermes abstraits, la jeune fille est beaucoup désigné par la figure de style "une beautée" une métonymie qui éblouit toute la cours par "son éclat". Au XVII° siécle, les portraits dans les romans sont peu devoloppés